Fin de l'euphorie
Dans la journée d'hier, j'ai reçu un coup de fil du propriétaire de l'appartement que j'occupe depuis Février 2001 à Versailles. Ceux-ci m'ont annoncé leur intention de vendre. Je demande immédiatement à combien ils évaluent le montant de la vente, et à ma grande surprise celui-ci est nettement moins élevé que prévu. L'enthousiasme est alors de rigueur. En effet, un conseiller financier spécialiste des questions d'immobilier vu quelques semaines plutôt nous avait fait une simulation de ce que nous pouvions Brice et moi emprunté et au final cela aurait pu cadrer.Cet après-midi, comme convenu la veille au téléphone, le propriétaire est venu me rendre visite accompagné d'un agent immobilier, l'inspection par celui-ci fut brêve. Et après qu'elle lui ai également fait visité l'appartement du troisième étage, elle est revenu me voir pour m'annoncer la nouvelle. Mon appartement est estimé à environ 160000€ ce qui signifie que même si elle pense que c'est un peu surévalué, il y a peu de chance que la vente se fasse en dessous des 130000€ et dans ce cas nous sommes bien évidemment hors jeu.
La chance me sourit quand même puisqu'elle me propose de revoir l'appartement du troisième, son mari me l'avait fait visiter l'année dernière et j'avais eu le coup de foudre...
A l'heure ou j'écris ces quelques lignes, j'attends que Brice rentre du travail pour lui faire visiter et si tout va bien, d'ici quelques semaines nous serons locataires de l'appartement du troisième étage.
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